Superbe997 Carrera 4S phase 2 avec la boite PDK, livrĂ©e neuve le 13 FĂ©vrier 2009. Seulement 89 900kms au compteur ! Rare configuration Rouge Indien avec beaucoup d’options dont notamment l’échappement sport, la boite PDK7, les suspension pilotĂ©es (PASM), les jantes Turbo en 19 pouces, les feux bi xĂ©nons directionnels, les siĂšges Votre Centre SpĂ©cialiste PORSCHE Flat06 a le plaisir de vous proposer cette Superbe PORSCHE 911 997 phase 2 Carrera 4 S 385 ch PDK L - 385 ch 04/2009 - 58 000 KM BoĂźte de vitesse PDK ExtĂ©rieur Macadamia IntĂ©rieur Cuir Rouge Carnet d'entretien et double des clĂ©s RĂ©alisation d'un 111 points de contrĂŽle dans notre atelier Description - Jantes Carrera Sport 19'' - PASM Porsche Active Suspensions Management - PSM Porsche Stability Management - Pach audio BOSE - Echappement Sport - Cuir Ă©tendu - Fonds de compteurs noirs - Cuir Ă©tendu - Volant en cuir lisse - Feux de virages dynamiques xĂ©non plus - Ciel de toit en alcantara - PrĂ©-Ă©quipement VTS Vehicle Tracking System - ChĂąssis sport - Navigation GPS Europe - Ordinateur de bord - Climatisation automatique - DiffĂ©rentiel autobloquant - Capteurs de pluie - Dispositif antivol - AntidĂ©marrage - RĂ©troviseurs Ă  rĂ©glages Ă©lectriques - SystĂšme lave-phares Garantie 6 mois PossibilitĂ© de livraison dans toute la France pour 790 euros TTC REPRISE POSSIBLE TOUTES MARQUES FERRARI, LAMBORGHINI, AUDI, BMW, MERCEDES et Autres Premium FLAT 06 - VOTRE SPÉCIALISTE PORSCHE PACA Entretien / RĂ©paration / Carrosserie / Achat / Vente / DĂ©pĂŽt-Vente Service ClĂ© en Main Prise en charge directement Ă  l'AĂ©roport de Nice ou la gare SNCF. DĂ©marches Administratives, Immatriculation, Financement, Assurance. SHOWROOM Ă  Cagnes-Sur-Mer FLAT 06 8 Avenue Cyrille Besset, 06800 Cagnes Sur Mer Portable Fr Edouard 07 60 14 76 52 Tel Fr 04 93 20 66 54 ATELIER DE RESTAURATION CARROSSERIE MECANIQUE Ă  Carros FLAT 06 CLASSIC Chemin De La Douane ZA DE LA GRAVE 06510 Carros Tel Fr 04 93 79 58 81 911Type 997 (997) (2) 3.8 385 CARRERA 4S PDK (2011) Par jakbauer-deltour le 14/06/2020. J'ai achetĂ© cette Porsche; ma troisiĂšme; il y a deux ans Ă  une relation qui l'a achetĂ© neuve en France
Toujours plus ou pas Avez-vous dĂ©jĂ  pris le volant d’une automobile en Ă©prouvant la sensation que tout est bien ? Que le constructeur est parvenu Ă  un Ă©quilibre tel qu’il ne pourra jamais s’approcher davantage de la perfection ? Comprenez-moi bien, il ne s’agit pas lĂ  de contester la notion mĂȘme de progrĂšs ; oui, on pourra toujours concevoir des moteurs plus puissants, des chĂąssis plus efficients et suivre sans coup fĂ©rir le rythme de l’évolution ingĂ©nieriale, qu’elle concerne la mĂ©canique proprement dite, les liaisons au sol, les assistances Ă  la conduite ou l’infotainment. NĂ©anmoins, la Porsche 911 ne se rĂ©sume pas Ă  une addition de composants ou Ă  l’ariditĂ© d’une fiche technique. Son mythe — et, pour une fois, ce terme n’est pas galvaudĂ© — dĂ©coule avant tout d’une quĂȘte incessante d’équilibre entre l’esthĂ©tique et la performance ; c’est de cet Ă©quilibre que dĂ©pend la joie que l’auto vous procure. Cela n’a pas forcĂ©ment abouti Ă  des rĂ©ussites incontestables et, jadis, il y eut des 911 dĂ©volues Ă  la promenade plus qu’à la vitesse on pense par exemple Ă  la 911 T de 1968, dont les 110 chevaux n’affolaient guĂšre le chronomĂštre et d’autres, au contraire, que leur bestialitĂ© rendait difficilement contrĂŽlables une fois atteintes certaines limites. Tout le monde n’a pas le talent d’un Jacky Ickx ou d’un Walter Röhrl et, jusqu’à l’irruption du PSM, il fallait beaucoup de mĂ©tier pour parvenir Ă  tirer la quintessence d’une machine dont le dĂ©sĂ©quilibre structurel constitue l’un des charmes majeurs — sauf, bien entendu, si vous n’avez jamais rien conduit d’autre que des tractions Ă  la neutralitĂ© bienveillante et au sous-virage rassurant. AprĂšs quoi, vers la fin de l’autre siĂšcle, la plus cĂ©lĂšbre des Porsche est entrĂ©e avec fracas dans la modernitĂ©. Avec fracas parce que, comme chacun sait, quand le passĂ© ressemble autant Ă  une lĂ©gende, certaines ruptures s’avĂšrent nĂ©cessairement transgressives. Le passage au refroidissement liquide — mĂȘme si le sujet avait Ă©tĂ© magistralement dĂ©frichĂ© dĂšs 1987 par la 959 — tout comme le renouvellement complet du design ont, de la sorte, littĂ©ralement traumatisĂ© des amateurs dont l’hystĂ©rie approcha celle des admiratrices de Rudolf Valentino Ă  l’annonce de sa mort. Cependant, si la 996 reprĂ©sente un tournant majeur dans l’histoire du modĂšle, c’est moins en raison de l’abandon des moteurs Ă  air » que du glissement philosophique qu’elle a incarnĂ©, s’éloignant des rivages d’une sportivitĂ© devenue trop exigeante Ă  vivre pour l’utilisateur moyen au profit d’un grand tourisme plus ou moins assumĂ© lorsque l’on dĂ©crypte la communication de la firme, mais pleinement tangible quand on prend le temps de partager la vie de la voiture, pour cent kilomĂštres ou pour dix ans. Une 996, en mieux Pour autant, et en dĂ©pit d’indĂ©niables qualitĂ©s de fond, la 996 ne m’a jamais entiĂšrement convaincu. Son regard semble s’ĂȘtre noyĂ© dans une semblance organique Ă  force de rĂ©futer la simplicitĂ© circulaire de ses devanciĂšres et son mobilier manque de cachet — afin d’anticiper les rĂ©actions des grincheux de tous horizons, je revendique sans Ă©quivoque l’entiĂšre subjectivitĂ© de ces propos ; on aura compris quen 2004, l’apparition de la 997 a attisĂ© mon enthousiasme au-delĂ  du raisonnable. Il n’a Ă©chappĂ© Ă  personne que celle-ci n’était, en somme, qu’une Ă©volution approfondie de la 996. Le concept de nouveau modĂšle peut recouvrir des rĂ©alitĂ©s trĂšs diffĂ©rentes et certains manufacturiers sont devenus maĂźtres dans l’art de faire passer des restylages pour des crĂ©ations originales mais, dĂšs qu’il s’agit de Porsche, on peut ĂȘtre sĂ»r que la mĂ©tamorphose ne se bornera pas au dessin d’une jante, Ă  la modification des graphismes de l’instrumentation ou Ă  un renouvellement du nuancier. De fait, Ă  certains Ă©gards, la 997 pourrait faire passer son prĂ©dĂ©cesseur pour un talentueux brouillon ; si l’on tient Ă  s’exprimer de façon schĂ©matique, il est permis de considĂ©rer que, de la 996, elle n’a conservĂ© que le meilleur — et rectifiĂ© tout le reste. En premier lieu, la physionomie extĂ©rieure de l’auto a bienheureusement changĂ©. Le nouveau dessin des optiques et des clignotants avant renvoie sans ambiguĂŻtĂ© aux 911 Classic c’est-Ă -dire aux modĂšles d’avant la sĂ©rie G et la vidĂ©o promotionnelle diffusĂ©e par Porsche au moment du lancement de la voiture s’exprime trĂšs clairement Ă  ce sujet aprĂšs des chamboulements diversement apprĂ©ciĂ©s durant sept millĂ©simes, il est temps de reconstruire une lĂ©gitimitĂ© stylistique et la course Ă  la contemporanĂ©itĂ© laisse la place Ă  une nostalgie soigneusement calibrĂ©e. En comparaison, la poupe n’a bougĂ© que marginalement mais il a suffi aux feux arriĂšre de retrouver des angles vifs pour lui confĂ©rer le caractĂšre qui lui manquait. Si vous disposez une 996 et une 997 cĂŽte Ă  cĂŽte, la modernitĂ© de cette derniĂšre ne fait aucun doute, alors mĂȘme qu’elle affecte de puiser son inspiration dans des clins d’Ɠil vintage. Les 911 d’avant 1974 ont, par le passĂ©, subi bien des outrages ne valant plus que ce que l’on voulait bien en donner, transformĂ©es Ă  outrance, vulgairement actualisĂ©es par toute une tribu de philistins socialement complexĂ©s, affublĂ©es d’ailerons et de pare-chocs Ă  soufflets scandaleusement apocryphes, ces autos ont souvent vĂ©cu un douloureux purgatoire. Les survivantes — je veux dire celles qui ont Ă©chappĂ© au pire — ont commencĂ© Ă  en sortir au dĂ©but des annĂ©es 2000 et, quatre ans plus tard, les citations auxquelles se prĂȘte la 997 ne doivent rien au hasard. Il est dĂ©sormais question de clore dĂ©finitivement les dĂ©bats stĂ©riles qui ont jalonnĂ© le parcours de la 996 — cette machine hĂ©rĂ©tique est-elle vraiment digne de son ascendance ? — en rattachant sans ambages la 911 d’aujourd’hui aux prĂ©mices de l’aventure. Le retour de la 911 S Quand vous prenez place Ă  l’intĂ©rieur, la dĂ©monstration se poursuit avec une planche de bord entiĂšrement nouvelle, dont la parentĂ© avec le vocabulaire utilisĂ© des dĂ©cennies durant par les 911 prĂ©-Wiedeking ne fait aucun doute. Les galbes quelque peu maniĂ©rĂ©s de la 996 ont disparu ; leur succĂšdent des lignes nettes, des angles droits et, au passage, une qualitĂ© de finition plus satisfaisante. L’équipement bĂ©nĂ©ficie des avancĂ©es du moment mais ce n’est Ă©videmment pas l’aspect le plus dĂ©terminant de l’auto. Les responsables du projet ont en effet profitĂ© du changement de gĂ©nĂ©ration pour rĂ©introduire une variante S » dont les caractĂ©ristiques ne se restreignent plus Ă  des amĂ©nagements esthĂ©tiques et Ă  des mises au point des trains roulants. La 997 est dorĂ©navant disponible en deux cylindrĂ©es et, si le 3,6 litres d’entrĂ©e de gamme ne progresse que symboliquement par rapport Ă  la 996, le 3,8 litres S », quant Ă  lui, apporte des avantages dĂ©terminants. Plus puissant de 30 chevaux, il en propose 355 au total et dĂ©livre des performances encore plus rĂ©jouissantes — c’est, de mon point de vue, la version Ă  rechercher en prioritĂ© de nos jours aussi discrĂšte qu’une Carrera de base, elle n’offre naturellement pas les prestations d’une 992 mais, en dĂ©finitive, est-ce rĂ©ellement ce qui importe ? En valeur absolue et quinze ans aprĂšs, les ressources d’une 997 S » demeurent impressionnantes. Oubliez la phrasĂ©ologie communĂ©ment attachĂ©e aux comparaisons frustes dans cette dĂ©finition, la voiture a atteint un tel niveau qu’aucune autre sportive, ni mĂȘme aucune 911 plus rĂ©cente, ne saurait la surpasser, encore moins l’humilier, pour reprendre une formulation Ă  la mode chez les godasses de plomb. Le pack Sport Chrono Plus » propose, certes, des fonctionnalitĂ©s amusantes pour ceux qui emmĂšnent rĂ©guliĂšrement leur auto sur la piste mais, au vrai, c’est plus un accessoire joliment dĂ©coratif qu’autre chose. Le temps n’est plus oĂč Jean-Louis Trintignant pouvait calculer sa moyenne entre Deauville et Paris sans se soucier de limiter sa vitesse et l’immense majoritĂ© du parc des 997 s’exprime trĂšs majoritairement sur route ouverte, lĂ  oĂč le fait d’avoir gagnĂ© deux ou trois secondes sur la Nordschleife n’a guĂšre de sens. Une phase 1, sinon rien Dans le mĂȘme esprit que la 996, la 997 a connu moult dĂ©clinaisons de motorisations, de transmissions, de carrosseries — avec, en particulier, la rĂ©apparition du Speedster — et il est tout bonnement impossible que vous ne trouviez pas votre bonheur dans le foisonnement d’une gamme dont la complexitĂ© requiert un examen attentif au moment du choix. À mon sens, pour ce qui concerne les modĂšles les plus courants, la phase 2 prĂ©sentĂ©e Ă  la fin de 2008 n’apporte pas grand-chose de plus les niveaux de puissance progressent encore pour atteindre respectivement 345 et 385 chevaux, tandis que la boĂźte robotisĂ©e Ă  double embrayage PDK pour Porsche Doppelkupplungsgetriebe remplace la Tiptronic traditionnelle, mais ces amĂ©liorations se paient au prix de regrettables amendements les clignotants avant perdent un peu de leur grĂące initiale, tandis que les feux arriĂšre semblent avoir Ă©tĂ© rĂ©cupĂ©rĂ©s sur les Ă©tagĂšres d’un accessoiriste douteux. C’est malheureusement dans cette livrĂ©e qu’a Ă©tĂ© Ă©ditĂ©e la trĂšs dĂ©sirable Sport Classic, produite Ă  seulement 250 unitĂ©s en 2009 et qui a exaltĂ© plus encore la connexion de la 997 Ă  l’histoire dont elle est issue. Son aileron en forme de queue de canard Ă©voque celui de la Carrera RS de 1973 alors que ses jantes rappellent le design des Fuchs en vigueur dans les annĂ©es 1970 et 1980, ce qui n’est pas incompatible avec les avantages de la technique contemporaine son six-cylindres Ă  plat est poussĂ© Ă  408 chevaux, les freins sont en carbone cĂ©ramique et le diffĂ©rentiel Ă  glissement limitĂ© est fourni d’office. Une 997 GT3 en haut et une GT3 RS en bas Dans la famille des flat-six atmosphĂ©riques, les GT3 et GT3 RS sont Ă  privilĂ©gier si vous frĂ©quentez rĂ©guliĂšrement les circuits ou si vous apprĂ©ciez les variantes extrĂȘmes », mais elles requiĂšrent une enveloppe budgĂ©taire d’une tout autre ampleur que les Carrera. Notez qu’à l’étĂ© 2011, soit au crĂ©puscule de la carriĂšre de la 997, Porsche construisit 600 exemplaires de la GT3 RS dont le moteur, toujours Ă  aspiration naturelle, atteignait le chiffre magique de 500 chevaux — une version frĂ©quemment proposĂ©e au-delĂ  des 300 000 euros sur le marchĂ© allemand. Comme il se doit, la 997 a aussi existĂ© en version Turbo et Turbo S de 480 Ă  530 chevaux selon les millĂ©simes, de mĂȘme qu’en GT2 puis GT2 RS, dont les 620 chevaux continuent d’ensoleiller le quotidien d’une poignĂ©e d’amateurs. Une 997 Turbo en haut et une 997 GT2 en bas Il faudrait ĂȘtre fou pour dĂ©penser plus RĂ©vĂ©lĂ©e Ă  la fin de 2011, la 991 a, comme c’est l’usage, progressivement remplacĂ© la 997. Celle-ci, fabriquĂ©e Ă  plus de 218 000 exemplaires soit 25 % de plus que la 996, est donc trĂšs prĂ©sente sur le marchĂ© et, on l’a vu, propose un remarquable compromis entre un style reconnectĂ© Ă  certains de ses fondamentaux et une partition technique qui a permis Ă  l’auto de se maintenir au sommet. Le rapport entre sa cote et le plaisir qu’elle est susceptible de vous prodiguer est Ă  peu prĂšs indĂ©passable et il est probable qu’elle vieillira mieux que ses successeurs, dont l’empĂątement excessif comme l’empattement rallongĂ© ont abouti Ă  des carrosseries sensiblement plus massives. C’est donc, plus que jamais, le moment d’acheter ; compte tenu de l’ñge de la voiture, le rĂ©seau Porsche ne propose pas l’offre la plus significative mais, si vous disposez de 50 Ă  60 000 euros, vous pourrez y dĂ©nicher de belles Carrera ou Carrera 4S en phase 1, de mĂȘme que chez les spĂ©cialistes indĂ©pendants. Oui, c’est plus cher qu’une 996 mais l’auto est aussi meilleure Ă  tous points de vue. Et mĂȘme, tout bien considĂ©rĂ©, la meilleure de toutes
 Texte Nicolas Fourny
Invité§Nic677up. Je m'apprĂȘte Ă  entrer dans ce club dont je rĂȘve depuis gamin, en effet aprĂšs de longues recherches j'ai trouvĂ© et signĂ© un acompte pour une 997 Carrera Phase 2 PDK trouvĂ©e chez un spĂ©cialiste reconnu de la place lyonnaise. Elle est en excellent Ă©tat extĂ©rieur et toujours entretenu en CP ou chez Flat69 Ă  Lyon.
Superbe997 Carrera 4S phase 2 avec la boite PDK, livrĂ©e neuve le 13 FĂ©vrier 2009. Seulement 89 900kms au compteur ! Rare configuration Rouge Indien avec beaucoup d’options dont notamment l’échappement sport, la boite PDK7, les
ï»żPORSCHE911 TYPE 997 (997) 3.8 355 CARRERA 4S TIPTRONIC S. 51 900 € Analyse indisponible. 24 - Professionnel. Voir la distance Voir la distance. Garantie 6 mois . 2006. 93 000 km. 31. Livraison disponible. PORSCHE 911 TYPE 997 (997) (2) 3.8 500 TURBO PDK. 102 990 € Analyse indisponible. Livraison disponible : voir le prix. 38 - Professionnel. Voir la distance Voir 2 Chassis - 997 Targa 4S Phase 1 997 Targa 4S Phase 1. Essais Porsche; N° SĂ©rie Porsche; Prix neuf Porsche de sĂ©rie sur les 997 S, 4S et Targa 4S, est un systĂšme de rĂ©glage Ă©lectronique des amortisseurs Ă  rĂ©gulation active et permanente de la force d'amortissement. La rĂ©gulation se fait individuellement sur chaque roue, en fonction du profil de la route et du type de conduite. Ce lDft0f7. 156 20 51 209 117 44 183 238 97

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