Eneffet, les accidents dramatiques qui se produisent chaque année, rarissimes si les contre-indications sont respectées, ne doivent pas faire oublier l'avancée majeure qu'a représentée la contraception orale. Faciliter l'accès à des méthodes contraceptives variées est essentiel pour prévenir les grossesses non désirées. Jeudi 05 Mars 2020 Par Elise Petter Le mot d’ordre est simple ne pas céder à la panique et faire preuve de bon sens. Il y a un peu plus d’une semaine de cela, le gouvernement de Hong-Kong annonçait la découverte d’un chien de race Spitz qui portait des traces du coronavirus covid-19. Des tests devaient alors être réalisés pour s’assurer que le chien était bien infecté, et que les traces retrouvées n’étaient pas uniquement environnementales. Un chien faiblement porteur du covid-19Le toutou, dont le maître était porteur du virus, a donc été testé à plusieurs reprises si l’on en croit le Guardian et d’autres médias locaux le chien serait bel et bien porteur du covid-19 très faiblement. Il n’aurait par ailleurs aucun symptôme de la maladie. Reste que le fait que ce chien soit touché pourrait prouver que la maladie peut bien être transmise de l'Homme à l'animal l'inverse ne semble pas vrai. Jusqu’ici, il avait été affirmé que c’était impossible. Quelles mesures prendre ?Les membres de l'AFCD Agriculture, Fisheries and Conservation Department ont d’ores et déjà indiqué qu’il ne fallait en aucun cas céder à la panique et encore moins abandonner ses animaux ou les faire euthanasier pour ne prendre aucun risque. Les propriétaires d'animaux ne doivent pas être trop inquiets et ne doivent en aucun cas abandonner leurs animaux », a déclaré le ministère de l'Agriculture de Hong conseils restent toujours les mêmes bien se laver les mains après avoir touché son animal de compagnie, garder un environnement propre et sain en nettoyant le plus souvent possible et éviter d’embrasser ses animaux. La Société pour la protection des animaux de Hong Kong a déclaré qu'être infecté n'était pas la même chose qu'être infectieux et capable de propager le virus. Cela veut donc dire que même dans le cas où un animal serait infecté par le virus, il ne peut pas forcément le transmettre. Jusqu'à aujourd'hui, aucun animal n'a montré de symptômes de la maladie et ne l'a transmise. Le mot de la véto le coronavirusA l'heure actuelle, il ne faut pas céder à la panique. Il n'y a absolument aucune preuve tangible que le coronavirus du Covid-19 puissent infecter nos animaux de compagnie pour le moment. Les coronavirus sont des virus fréquents chez l'homme responsables de rhume et chez les animaux. Aucune contamination de l'humain vers l'animal n'a été rapportée, même lors de l'épisode du SRAS en 2003. Jusqu'à aujourd'hui, seuls semblent capables de muter pour infecter une autre espèce que leur espèce hôte, les coronavirus de la chauve-souris et du dromadaire responsable du MERS. Cependant, ce coronavirus étant nouveau, il est recommandé de ne prendre aucun risque et de respecter les mesures barrières préconisées par le gouvernement, même avec les chiens, chats et nacs. Donc, encore une fois, on se lave les mains plusieurs fois par jour. En cas de symptômes, on reste chez soi et on évite de câliner son chien ou son chat. Pour les besoins des chiens, si l'on n'a pas de jardin, le balcon est une solution au moins pour les petits animaux. Sinon, on les promène en laisse en portant un masque et des gants Isabelle Vixège Docteur vétérinaire et rédactrice pour WamizA lire aussi Alerte Coronavirus un chat soupçonné d’être infecté va être expulsé en Chine ! Onle sait, on le savait, ça se confirme, ça devient tendu, mais ne cédons pas à la panique. Il faut garder cette idée de vouloir jouer, de vouloir poser le
lundi, 17 mai 2010. 1634 PHILADELPHIE - Pour le vétéran Brian Gionta, se faire humilier 6-0 dans le premier match d'une série n'est pas suffisant pour céder à la même si le Canadien de Montréal semblait au tapis à la suite de cette défaite à sens unique face aux Flyers de Philadelphie, Gionta a indiqué que plus d'efforts et quelques ajustements à leur plan de match pourront les remettre sur les rails dans cette série finale de l'Est. Il pense voir ces changements dès le deuxième match de la série, mardi, au Wachovia Centre. "Une défaite est une défaite, a dit Gionta lundi. Vous tentez de trouver ce qui n'a pas fonctionné et comme c'est le premier match de la série, vous devez regarder plus attentivement ces détails. "Je ne pense pas qu'on soit si loin que ça. Ce fut un difficile début, mais c'est plus nous qui avons mal joué. Il ne s'agit pas de quelque chose qu'ils font et à laquelle nous ne sommes pas capables de réagir. Il s'agit de nous préparer et d'exécuter ce que nous voulons faire. Rien de cela ne s'est produit dimanche. J'ai confiance que nous serons en mesure de rebondir et de fournir un meilleur effort." Le Canadien a tenu une rencontre d'équipe afin de discuter de leurs nombreuses ratées du premier match et seulement huit joueurs ont patiné, surtout ceux qui n'ont pas joué ou n'ont pas vu beaucoup d'action. Le constat général était que les Flyers, plus gros et plus physiques, ont épuisé le Canadien, ont été en mesure de créer de la circulation devant Jaroslav Halak et de rendre la vie du gardien du Tricolore misérable. De son côté, le Canadien a rappelé qu'à chacune des deux rondes précédentes, contre les Capitals de Washington et les Penguins de Pittsburgh, ils ont subi une râclée, mais qu'à chaque fois, Halak et l'équipe ont rebondi pour remporter le match suivant. "Ses coéquipiers et moi avons énormément confiance que Jaro sera en mesure de rebondir", a indiqué l'entraîneur-chef, Jacques Martin. En saison régulière, Halak avait subi une sévère râclée aux mains des Flyers avant la pause olympique, mais les a blanchis à Philadelphie en avril. Alors le gardien de 25 ans ne semblait pas trop concerné. "Nous avons dû affronter cette situation d'avoir de gros joueurs devant moi dans les deux premières séries, a dit Halak. On est en séries. Ils veulent gagner le match autant que nous le voulons. Nous devons être meilleurs à les sortir de cette zone et nous serons corrects. Je dois aussi m'assurer de mieux voir le disque." Certains croient que Ryan O'Byrne, à 6 pi 5 po, sera de retour dans l'alignement pour tenter de contrer les gros joueurs des Flyers, ce qui voudrait dire que Marc-André Bergeron jouerait à l'attaque sur la quatrième ligne afin de pouvoir profiter de son tir sur le jeu de puissance. Mais Gionta, le plus petit joueur du club à 5 pi 7 po, ne croit pas que son équipe ait été intimidée, même si les Flyers ont dominé 27-19 au chapitre des mises en échecs. Pour Gionta, l'intelligence peut triompher des bras. "Ce qu'il faut, c'est de gagner nos batailles individuelles. Ça n'a rien à voir avec le nombre de mises en échecs données ou reçues. Nous n'étions tout simplement pas prêts dès le départ. "Nous ne patinions pas. Ils pratiquent un échec avant soutenu et nous devons sortir la rondelle plus rapidement et les forcer à patiner davantage. Quand ils viennent rapidement en échec avant, si on peut placer une ou deux bonnes passes, ils viendront moins rapidement la prochaine fois." En tant que groupe, le Canadien semblait fatigué, alors que les Flyers semblaient encore surchargés de l'énergie qui leur a permis de gagner le septième match contre les Bruins de Boston. Pour Mathieu Darche, c'est bien d'avoir perdu le premier match de cette façon ça permettra au Tricolore d'identifier rapidement ce qu'il doit corriger. "C'est presque une bonne affaire, a-t-il dit. Si Jaro garde les buts au-dessus de sa tête et qu'on perd 2-1, ça aurait pu cacher certains des problèmes que nous avons rencontrés. Mais maintenant, ils ont été exposés au grand jour et nous pouvons nous ajuster et aller de l'avant."
Ce n'est pas une excuse, mais quand même. Ne jamais pouvoir disposer d'un effectif à peu près au complet, cela devient compliqué. » Pour
Une semaine après la défaite devant Saint-Etienne 2-0, l'entraîneur croco ne cache pas que son équipe, dimanche 11 avril, devra "prendre des points" à Brest pour rester dans la course au maintien et qu'elle n'a plus le droit de "rater un match". La conférence de presse de Pascal Plancque pour évoquer le déplacement de Nîmes Olympique à Brest s'est déroulée en début de matinée, ce samedi 10 avril. "Ce serait une bonne idée de prendre des points, a dit l'entraîneur croco. On voulait en prendre contre Saint-Etienne mais des fois on y est et des fois, on n'y est pas. On a raté notre match, on est passé à côté, il ne faut pas que cela se reproduise. Il ne faut plus qu'on se rate, au moins dans le contenu." Il faut retrouver un contenu plus en adéquation avec nos valeurs, qu'on sente vraiment qu'on est une équipe qui joue le maintien Pour Pascal Plancque, "pas question de tomber dans la sinistrose. Il ne faut pas céder à la panique, il y a encore du temps pour gagner des matches". Pour lui, "il faut tourner la page, rebasculer sur de l'ambition, de l'enthousiasme, de l'envie, du dynamisme. Il faut retrouver un contenu plus en adéquation avec nos valeurs, qu'on sente vraiment qu'on est une équipe qui joue le maintien". "Les mêmes dispositions d'esprit qu'à Lille" Pour obtenir un résultat à Brest, qui n'a gagné qu'un seul de ses sept derniers matches 2 nuls, 4 défaites, les Crocos devront être dans "les mêmes dispositions d'esprit qu'à Lille", où ils s'étaient imposés 2-1. Dans la course au maintien, Pascal Plancque estime que "c'est Lorient et Nantes surtout qu'on doit regarder" et non Brest 16e, 35 pts qui, "avec six points d'avance, a une marge appréciable", et Strasbourg 13e, 36 pts, les deux prochains adversaires des Crocos. "Il faut juste qu'on arrive à laisser trois équipes derrière nous, pas quatre ou cinq. Et s'il n'y a que deux équipes derrière nous, on ne sera pas morts, on fera les barrages et on défendra vaillamment nos chances." Voicile mot à trouver pour la définition "Le garder, c'est ne pas céder à la panique" ( groupe 78 – grille n°2): s a n g f r o i d Une fois ce nouveau mot deviné, vous pouvez retrouver la solution des autres mots se trouvant dans la même grille en cliquant ici. Sinon, vous pouvez vous rendre sur la page sommaire de Codycross pour retrouver la solution complète du jeu. 👍 . Le
Pays Tous les pays Afrique du Sud Algérie Angola Botswana Burkina Faso Burundi Bénin Cameroun Cap-Vert Centrafrique Comores Congo-Brazzaville Congo-Kinshasa Cote d'Ivoire Djibouti Egypte Erythrée Eswatini Ethiopie Gabon Gambie Ghana Guinée Guinée Bissau Guinée Equatoriale Ile Maurice Kenya Lesotho Liberia Libye Madagascar Malawi Mali Maroc Mauritanie Mozambique Namibie Niger Nigeria Ouganda Rwanda Sahara Occidental Seychelles Sierra Leone Somalie Soudan Sud-Soudan São Tomé and Príncipe Sénégal Tanzanie Tchad Togo Tunisie Zambie Zimbabwe Toute l'Afrique Afrique Centrale Accueil Afrique Centrale Angola Burundi Cameroun Centrafrique Congo-Brazzaville Congo-Kinshasa Gabon Guinée Equatoriale Rwanda São Tomé and Príncipe Tchad Afrique de l'Est Accueil Afrique de l'Est Burundi Comores Djibouti Erythrée Ethiopie Ile Maurice Kenya Madagascar Ouganda Rwanda Seychelles Somalie Soudan Sud-Soudan Tanzanie Afrique du Nord Accueil Afrique du Nord Algérie Egypte Libye Maroc Sahara Occidental Tunisie Afrique Australe Accueil Afrique Australe Afrique du Sud Angola Botswana Eswatini Lesotho Malawi Mozambique Namibie Zambie Zimbabwe Afrique de l'Ouest Accueil Afrique de l'Ouest Burkina Faso Bénin Cameroun Cap-Vert Cote d'Ivoire Gambie Ghana Guinée Guinée Bissau Liberia Mali Mauritanie Niger Nigeria Sierra Leone São Tomé and Príncipe Sénégal Togo Rubriques Toutes les Rubriques Afrique et Amérique Latine Afrique et Europe Afrique et Moyen Orient Afrique, Asie et Australie Agroindustrie Aide et Assistance Aliments et Agriculture Armes et Armées Athlétisme Banques Bourse Climat Commerce Conflit Construction Coronavirus Corruption Coupe du Monde Dette Devises Divertissement Droits de l'Homme Développement Durable Eau Ebola Eco-tourisme Education Energie Enfance Entreprises Environnement Fabrication Faune Femmes et Genre Finance Flux de Capitaux Football Gouvernance Grossesse et Accouchement Infrastructures Innovation Investissement Jeux Olympiques Justice et Lois Livres MNT Maintien de la Paix Migrations Musique Média NTIC Nutritive ONG Océans Organisations Internationales Paludisme Parcs Animaliers Polio Privatisation Produits Pétrole Relations Extérieures Religion Ressources Minières Revue Littéraire Revue Musicale Réfugiés SIDA Santé et Médecine Science Sports Terres et Gestion Rurale Terrorisme Transport Travail et Syndicats Tuberculose USA, Canada et Afrique Urbanisation Voyages Divertissement Accueil Divertissement Livres Musique Revue Littéraire Revue Musicale Finance Accueil Finance Agroindustrie Banques Bourse Commerce Construction Dette Devises Energie Entreprises Fabrication Flux de Capitaux Infrastructures Investissement NTIC Privatisation Produits Pétrole Ressources Minières Transport Travail et Syndicats Conflit Accueil Conflit Armes et Armées Maintien de la Paix Réfugiés Terrorisme Environnement Accueil Environnement Climat Eau Faune Océans Santé et Médecine Accueil Santé et Médecine Coronavirus Ebola Grossesse et Accouchement MNT Nutritive Paludisme Polio SIDA Tuberculose Sports Accueil Sports Athlétisme Coupe du Monde Football Jeux Olympiques Voyages Accueil Voyages Eco-tourisme
Voicile mot à trouver pour la définition "Le garder, c'est ne pas céder à la panique" ( groupe 78 – grille n°2) : s a n g f r o i d Une fois ce nouveau mot deviné, vous pouvez retrouver la solution des autres mots se trouvant dans la même grille en cliquant ici. Joueuse du club hongrois de Dunaújvaros, Géraldine Mahieu, 26 ans, a fait le choix de rester en Hongrie avec une partie de son équipe pour continuer de s’entraîner dans des conditions à peu près normales. Si le pays d’Europe de l’Est échappe, pour l’instant, à un confinement général comme c’est le cas en France, l’ambiance n’en demeure pas moins étouffante à l’heure où l’épidémie de COVID-19 continue de s’étendre à travers le monde. Où es-tu confinée ? Le championnat de water-polo hongrois s’est arrêté le samedi 14 mars. Dans la foulée, j’ai pris la décision de rester en Hongrie, où les restrictions sont moins importantes qu’en France. Pour l’heure, on ne parle pas encore de confinement général, plutôt d’isolement, mais la situation est tout de même tendue. On sent que les gens prennent leurs précautions, qu’ils ne se mélangent pas et que la vie s’est un peu arrêtée. As-tu gardé le contact avec tes proches ? Oui, évidemment ! Ma sœur Pauline est, elle aussi, en pleine préparation olympique. On parle beaucoup de ce qu’on fait à la maison pour rester focus sur notre objectif et se maintenir en bonne condition physique. Il faut quand même une sacrée détermination pour s’entraîner tous les jours dans ce genre d’ambiance. KMSP/Stéphane Kempinaire De quelle manière as-tu accueilli le report des Jeux olympiques de Tokyo en 2021 ? Pour moi, c’est une décision juste ! Ça n’arrange personne, évidemment, mais c’était à n’en pas douter la meilleure chose à faire. Dans certains pays, comme en France, par exemple, les piscines sont fermées. Je ne vois pas comment les nageurs, poloïstes, plongeurs et synchros auraient pu, dans ces conditions, se préparer pour les Jeux olympiques alors que dans d’autres pays, comme aux Etats-Unis ou en Australie, les groupes d’entraînement continuent de travailler presque normalement. Le principe même d’équité propre à l’esprit olympique était sérieusement remis en question. C’est tout de même un sacré bouleversement. Il est clair qu’ajouter une année de préparation pour un événement tel que les Jeux, ce n’est pas anodin. Il y aura un impact tant physiquement que moralement, mais tout le monde va repartir sur un pied d’égalité. L’essentiel est préservé selon moi. KMSP/Stéphane Kempinaire Et qu’en est-il plus spécifiquement du TQO que tu devais disputer avec l’équipe de France de water-polo début mars, puis déplacé du 17 au 24 mai, toujours en Italie Trieste, où, on le sait, l’épidémie de COVID-19 continue de faire des ravages ? Vient un moment où il faut arrêter d’être égoïste et ne penser qu’à sa pratique et à ses objectifs pour se préoccuper du bien-être universel. Aujourd’hui, le plus important, c’est de sauver des vies et de préserver les populations. C’est ça aussi l’esprit olympique, penser aux autres, aux épreuves qu’ils traversent et tenter d’aménager les choses en conséquence pour que tout le monde s’y retrouve. C’est difficile pour tous les sportifs de haut niveau, mais c’est aussi l’occasion de se rappeler de nos valeurs communes, celles qui nous habitent tous. En ce qui concerne la situation de l’équipe de France féminine de water-polo, je n’ai pour l’instant aucune information sur le TQO. Je suis l’évolution de la situation en essayant de positiver… De quelle manière ? Je me dis qu’il nous reste du temps pour travailler. J’ai confiance dans mes coéquipières, je sais que nous mettrons tout en œuvre pour répondre présent le jour J, que de soit fin mai ou plus tard, en fonction des décisions qui seront prises. KMSP/Stéphane Kempinaire Es-tu en contact avec tes coéquipières ? Oui, bien sûr ! Au-delà du sport, nous sommes également amies. On se donne régulièrement des nouvelles car cette période de confinement est difficile à vivre pour tout le monde. Pour le moment, j’ai le sentiment que toutes les filles digèrent l’annonce du report des Jeux. Chacun l’assimile et ça va encore prendre un peu de temps… Ce n’est donc pas simple à accepter. Dans le contexte actuel, c’est ce qu’il fallait faire, j’en suis convaincue, mais peut-être que d’ici quelques jours ou quelques semaines, les choses évolueront et nous serons moins convaincues par cette décision. Je le répète, cela va prendre du temps car au-delà des questions de planning, il y a aussi tous les sacrifices que les joueuses et, de manière générale, tous les athlètes de haut niveau font au quotidienPréparer les Jeux, c’est un investissement total. On ne peut pas faire les choses à moitié. Par conséquent, il est normal que cette décision interpelle. On l’accepte, bien évidemment, parce qu’il s’agit de santé publique, mais il y a forcément des questions. Il faut que chacun se réadapte et revoie ses projets, tant sportifs que personnels. Plus concrètement, comment s’organisent tes journées en Hongrie ? Avec une partie de l’équipe, nous sommes parties au Balaton le lac Balaton est un lac d'eau douce de l'ouest de la Hongrie, ndlr pour travailler et ne pas perdre le foncier accumulé tout au long de l’année. On fait beaucoup de vélo, du kayak, de la musculation et des exercices de souplesse pour ne pas trop souffrir lorsqu’il faudra relancer la machine sourire... Le championnat est suspendu et non annulé. Il devrait reprendre l’année prochaine, enfin normalement, et s’achever probablement en début d’année prochaine. Mais bon, tout cela reste très flou pour le moment. KMSP/Stéphane Kempinaire On te sent impliquée, consciente des changements à venir et de la nécessité de s’adapter, mais es-tu également inquiète ou préoccupée par l’épidémie de COVID-19 qui se propage à toute vitesse sur l’ensemble de la planète ? Je suis forcément inquiète pour mes proches. Je les appelle régulièrement pour savoir comment ils se portent. J’ai également fait des études dans le milieu médical alors j’ai beaucoup d’amies qui se retrouvent en première ligne. Ça me préoccupe aussi, d’autant que je me sens protégée en Hongrie. Je ne suis pas au cœur de la bataille. J’essaie surtout de ne pas céder à la panique quand je la sens monter car, à mon échelle, je ne peux rien faire, si ce n’est ne pas contaminer les gens qui m’entourent. Quand as-tu prévu de revenir en France ? C’est la grande question ! Pour le moment, je ne peux pas voyager. Pas question de déranger l’ambassade avec mon cas personnel. Mais j’aimerais bien revoir ma famille, surtout pendant cette période. Je ressens le besoin d’être avec eux, mais pas question de prendre des risques. Pour l’instant, je prends mon mal en patience. Je m’entraîne et je fais en sorte de rester positive. Recueilli par Adrien Cadot
Legarder c'est ne pas céder à la panique Solution est: S A N G F R O I D « Précédent Tout Grille 2 Solution Suivant » Sur CodyCross CodyCross est un célèbre jeu nouvellement publié développé par Fanatee. Il a beaucoup de mots croisés divisés en différents mondes et groupes. Chaque monde a plus de 20 groupes avec 5 grille chacun.
Emploi MÊME s'il est devenu inévitable de comparer la crise actuelle à celle des années 1930, nous sommes aujourd'hui bien mieux armés pour lutter contre une crise. Les banques centrales ont retenu les leçons de la Grande Dépression en n'hésitant pas à intervenir pour éviter les crises de liquidités. Le FMI a permis d'éviter la faillite de l'Islande et de plusieurs pays d'Europe de l'Est. Quant à l'OMC, elle dénonce, dans un document soumis au G20, le retour d'un protectionnisme qui risque de freiner la sortie de crise. Cette sortie de crise, justement, personne ne peut aujourd'hui en prévoir la date avec certitude. Le FMI évoque le premier semestre 2010, l'économiste Nouriel Roubini, l'un des Cassandre de la récession, la fin de la même année. Et certains espèrent déjà que la légère reprise des ventes et la stabilisation des prix dans l'immobilier constituent les premiers signes de la reprise. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement En attendant, cette crise offre l'opportunité de repenser notre modèle de croissance. J'adhère pleinement à l'adage selon lequel il ne faut pas gâcher une crise ». Car l'avenir est à la croissance durable » et à l'économie verte, qui permettent tout à la fois créations d'emplois et économies d'énergie. En janvier dernier, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, réclamait un New Deal vert » et demandait aux chefs d'État de consacrer au minimum un tiers de leurs dépenses de relance et 1 % du PIB mondial à la lutte contre le changement climatique, à la préservation des ressources naturelles et à la préparation de l'agriculture du futur. Il semble avoir été entendu. Alors que l'Europe s'apprête à lancer des initiatives dans ce domaine à l'issue du G20, le plan de relance de Barack Obama prévoit déjà la création de 2 millions d'emplois dans ce secteur. La France semble également être montée dans le bon wagon. Un exemple parmi d'autres la Caisse des dépôts et consignations va financer un programme expérimental d'appui aux écoquartiers ». Bernard Ramanantsoa, directeur général d'HEC Paris Les plus lus OpinionsLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre Assouline
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